Nos maisons sont des temples 51, une oeuvre de Sophie de Garam
L'artiste habite au Vanuatu, au fin fond du Pacifique où la notion de trace est un socle des rites des ethnies locales. Ses peintures s'articulent autour d'une ligne, une trace, qui vient rythmer la toile, comme une énergie qui trace sa route ou l'empreinte éphémère d'un chemin dans la terre. Cette ligne "aléatoire" ménage la fluidité de la ligne tout en gardant une trame que l'on devine. La technique est unique et on se demande d'ailleurs qui de la ligne ou du fonds précède l'autre.