Dans chaque pot poli, recouvert ou non de laque et d’or il y a un récit.
Dans les dissymétries engendrées par les déformations, par la rugosité de la matière brute, par le hasard des coulures d’émail et les dégradés de couleur, aux nuances de gris et de noir de fumée, il y a une histoire. A l’évidence aussi un goût pour les effets oniriques, dans un amour mêlé de la tradition : les formes, au service de la création : la technique et un travail subtil sur la matière. Parfois l’emploi d’un or pur.